Les participants à une table ronde UE-Inde appellent à une mobilité accrue des étudiants et travailleurs
Les participants à une table ronde UE-Inde, réunie à Jaipur (Inde) début février, dans le but de promouvoir les relations entre les sociétés civiles des deux régions, ont demandé tant à l'UE qu'à l'Inde, d'éliminer les entraves aux activités communes de R&D (recherche et développement) et de faciliter la mobilité des travailleurs qualifiés, particulièrement dans le domaine des technologies de l'information. Lors de la réunion, les représentants du Comité économique et social européen (CES) et de la société civile indienne ont abordé le transfert de technologies, les subventions, le financement à risque, les entraves à l'investissement étranger direct, la reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles et académiques, la promotion des échanges d'étudiants et la collaboration entre les établissements d'enseignement. "L'UE et l'Inde doivent examiner toutes les entraves à l'investissement étranger direct et aux joint-ventures, notamment les activités de recherche-développement qui permettent aux entreprises européennes de tirer parti du capital humain de l'Inde tout en permettant aux travailleurs qualifiés, des technologies de l'information par exemple, de rester en Inde et de développer les infrastructures du pays", est-il formulé dans les recommandations de la table ronde. Ces recommandations seront à l'ordre du jour du prochain sommet UE-Inde qui doit avoir lieu à Copenhague ultérieurement cette année.