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Defining regulators of hematopoietic stem cell homing and engraftment

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Assurer l'adhérence des cellules souches

La greffe de moelle osseuse est un processus utilisé pour le traitement des cancers du sang et des os. Des chercheurs de l'UE ont enquêté sur la façon de renforcer l'efficacité de cette procédure.

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Un nombre important de patients qui bénéficieraient d'une greffe de moelle osseuse ou d'une transplantation de cellules souches hématopoïétiques (CSH) ne peut être traités. Les cellules souches insuffisantes de donneur mettent un frein à la procédure. Une façon excellente de surmonter ce problème est de stimuler l'efficacité de la prise de greffe. La «prise de greffe» est définie par le moment où les nouvelles cellules du sang commencent à se développer et à produire des cellules souches sanguines saines. Le projet HEMHOME («Defining regulators of hematopoietic stem cell homing and engraftment») a identifié de nouvelles molécules qui permettre l'hébergement et l'adhésion des cellules progénitrices et des CSH à leur niche dans la moelle osseuse. Le microenvironnement qui interagit avec les CS pour réguler le destin des cellules est appelé la niche des cellules souches. Les chercheurs ont développé avec succès un petit test de dépistage à base d'ARN en épingle à cheveux afin d'isoler les molécules médiatrices possibles. Démontrant la faisabilité de l'approche, les tests de dépistage ont détecté des régulateurs connus de l'adhésion des CSH. Une molécule prometteuse sur laquelle personne ne s'était penché auparavant est la cytohésine1 (CYTH1). La validation confirmée de la CYTH1 dans les interactions de niche CSH signifierait qu'elle serait un candidat idéal pour moduler le processus de greffe dans la clinique. L'utilisation de la microscopie de réflexion par interférence en collaboration avec le département d'immunologie à l'université de Lund, l'équipe a enquêté exactement la façon dont la CYTH1 altère les propriétés d'adhésion des CSH. Très impliqués dans l'interaction cellule-cellule, l'hébergement et la colonisation, les scientifiques se sont penchés sur le statut d'activation de la CYTH1-intégrine. La microscopie automatisée peut analyser le mouvement des CSH avec la CYTH1 à l'aide de stress aléatoire ou de cisaillement. Sous les auspices de la médecine régénératrice, la thérapie par cellules souches promet d'être un élément critique en termes de soins de santé à l'avenir. Le projet HEMHOME a identifié et validé une molécule pouvant être développée pour une utilisation clinique dans la greffe de moelle osseuse.

Mots‑clés

Greffe de moelle osseuse, cancer, cellule souche hématopoïétique, greffe, niche, petit ARN en épingle à cheveux, CYTH1, médecine régénératrice

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