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Stem-cell based therapy for kidney repair

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Des cellules souches pour traiter les néphropathies

Les cellules souches mésenchymateuse (CSM) seraient d'excellents candidats pour la thérapie cellulaire en médecine régénérative. L'étude STELLAR se penche sur le nouveau rôle des CSM dans la restauration rénale.

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Près de 8 % des Européens développeront une néphropathie et courent un risque modéré ou élevé de souffrir d'insuffisance rénale. À moins de trouver un organe donneur adapté, la néphropathie comporte un risque de mortalité élevée et s'appuie sur un traitement de dialyse. Néanmoins, l'augmentation de la prévalence de la maladie et la pénurie d'organes disponibles nécessitent des solutions pour la thérapie de remplacement rénal. D'après une découverte récente établissant que les CSM de rein possèdent une capacité régénératrice inhérente, des stratégies qui cherchent à restaurer le fonctionnement des reins affectés semblent prometteuses. Avec cela à l'esprit, les scientifiques STELLAR («Stem-cell based therapy for kidney repair»), financé par l'UE, étudient les effets des CSM de rein pour empêcher la fibrose des organes et induire la réparation des tissus. En théorie, cela devrait entraîner la restauration du fonctionnement normal des reins. En rassemblant des experts australiens et européens dans ce domaine, STELLAR a déjà développé des protocoles pour l'isolation des CSM de rein et la caractérisation de leurs propriétés. Comparé aux CSM de moelle osseuse ou de cordon ombilical bien connues, les CSM de rein ont un phénotype similaire. Néanmoins, ces dernières démontrent un potentiel élevé pour la réparation des lésions épithéliales et la vasculogenèse. Les renseignements mécaniques sur ces propriétés ont révélé les processus de transcription induite par l'homéoboîte (ou homéobox) qui pourraient être impliqués dans les propriétés régénératrices de rein. Dans cette prochaine phase du projet, les partenaires se concentreront sur l'impact thérapeutique des CSM dans les modèles de maladies spécifiques et sur leur expansion à grande échelle et leur différenciation. Parmi les objectifs se trouvent la compréhension du processus de fibrose et l'identification de biomarqueurs pour le suivi des effets de la thérapie de régénération rénale en utilisant les CSM de rein. La diffusion des activités du projet par les réseaux sociaux a souligné l'impact sociétal de STELLAR. En effet, la transposition des connaissances fondamentales obtenues au cours du projet en produit clinque de thérapie cellulaire devrait apporter un avantage aux personnes souffrant de néphropathie dans le monde entier.

Mots‑clés

Néphropathie, médecine régénérative, cellules stromales mésenchymateuses, thérapies à base de cellules souches, réparation du rein

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